Goma
Que nous réserve la crise de Goma?
- sam, 01/12/2012 - 12:06
Partira? Partira pas? La question donnait le tournis aux états-majors politiques et militaires de la région et de ceux qui suivent le dossier. Alors qu’un énième sommet de la CIRGL le week-end dernier à Kampala avait donné 48 heures au M23 pour quitter Goma prise mardi 20 novembre et que le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon sommait le groupe rebelle de «rendre les armes immédiatement» et de quitter le chef-lieu du Nord-Kivu, suivi ou précédé par nombre de dirigeants occidentaux, cet ultimatum n’était pas véritablement suivi d’effet. Mercredi, on appris le départ pour Goma le lendemain des chefs d’état-major des armées de la sous-région chargés de superviser le retrait.
L’heure a sonné de penser l’essentiel, c’est la paix
- lun, 26/11/2012 - 08:17
Rien ne se fait sans la paix. Il faut tout faire pour construire la paix. Il arrive un jour où il faut faire face à son destin, sinon tout arrêter, du moins tout suspendre et penser l’essentiel. L’essentiel c’est donner à boire et à manger à ses concitoyens; envoyer les enfants à l’école en vue de préparer l’avenir.
Goma résiste
- mar, 20/11/2012 - 08:39
Kinshasa met la rébellion au défi de prendre la ville touristique. A l'heure où nous allons sous presses mardi aux petites heures, Goma résistait toujours. Selon des récits de correspondants de presse occidentaux, la ville touristique était sur le point de tomber aux mains des rebelles du M23.
L'UMPC, un nouveau Mouvement regroupant cinq mouvements dissidents du RCD-Goma, est porté sur les fonts baptismaux
- jeu, 03/10/2002 - 10:20
Cinq mouvements dissidents du Rassemblement Congolais pour la Démocratie (RCD-Goma) ont annoncé leur regroupement au sein d'une Union des Mouvements Patriotiques Congolais, UMPC en sigle, a-t-on appris jeudi 26 septembre auprès de cette organisation.
Massacres de Kisangani : l’accablant rapport du Groupe Lotus au grand complet
- mar, 13/08/2002 - 10:15
Dans un rapport d’une sérénité exemplaire, le groupe Lotus, une ONG locale basée à Kisangani, est sans équivoque : «L’ordre de tuer (à Kisangani, les 14 et 15 mai 2002) a été donné par la hiérarchie militaire.»